Diwan avec Régine Detambel
pour tous ses livres, dont
Noces de chêne, paru chez Gallimard en 2008 et
Le syndrome de Diogène, éloge des vieillesses, Actes Sud
2008
ON VOUDRAIT BIEN VOUS Y VOIR !
au 136 rue des Pyrénées, atelier de lutherie, Paris 20°, entre Maraichers et Gambetta.
« On commence à se rendre compte aujourd’hui que, sous un apparent désordre, une abondance fiévreuse, une envie de tout écrire et de tout essayer, Régine Detambel compose une œuvre. (…) Elle doit ressembler à cette écriture qu’elle habite : nette, rectiligne, fragile et cassante comme une arche de verre sous laquelle fileraient des torrents de tumulte et de violence. »
Pierre Lepape (Le Monde)
« Une écriture très sobre, classique, qui s’efface devant le sujet. Une émotion qui s’arrête si loin en deçà de la sentimentalité qu’elle pourrait presque passer pour objective froideur. Et l’on hésite à employer le mot ‘réussite’ parce qu’il y reste encore une part trop belle au hasard, il faudrait plutôt parler de ‘maîtrise’. Déjà ? Dit-on ‘bête d’écriture’ comme on dit ‘bête de scène’ ? » Michèle Bernstein (Libération)
« Ce qui fascine est insaisissable, c’est une sorte de noyau dur, irradiant, que l’on retrouve à chaque livre, un substrat impénétrable qui nourrit une écriture à nulle autre pareille, une écriture au scalpel, vraiment : qui tranche sans cesse dans le vif pour mettre à nu la crudité des mots qui nous gouvernent… »
Bertrand Leclair (Les Inrockuptibles)
« Ecrire transforme le monde en mots. C'est l'histoire d'une survie tracée de page en page. Réinventer, redire, créer des personnages. Les textes de Detambel atteignent une puissance d'évocation intime que l'on rencontre peu chez les contemporains. Elle ne raconte pas... Les trames ne sont faites que pour se recouvrir de l'enchevêtrement des sentiments. Les plus sauvages, les plus révoltés. » Xavier Houssin (Le Monde)